Lyon - novembre 2017

Publié le par domrobhub

Vendredi 03 novembre 2017.

Attention, un train peut en cacher un autre !...

Une colline qui travaille, une colline qui prie.

C’est avec un en train certain que 9 hommes et 15 femmes prirent d’assaut le train à Bourg pour arriver en gare de Lyon Part Dieu à 26 ( 2 Lyonnaises attrapaient le train des randonneurs en marche) où la mise en train fut laborieuse avec ce train de sénateur adopté.

Le Parc de la Tête d’or vit chacun admirer le train de vie de certains autochtones.

Déjà en retard sur le train prévu, la Montée de Soulary, 442 marches, vit chacun adapté son train, en haut de la Croix Rousse, jolies vues sur Fourvière, la Cité Internationale, le Vieux Lyon,…  les premières courbatures disparaissaient,…, nous redescendions, mais par sadisme ou gravité le Fort Saint-Laurent hors de vue nous nous retrouvions trop vite en bord de Saône. Alors, nous dûmes remonter à un train d’enfer enchainant les hauts lieux de la vie laborieuse des Canuts et naviguant par-dessus « Arrêtes de Poisson » et tunnel. Train-train devenu déjà commun, replonger… en passant, botter le train (intellectuellement) de ces malfaisants du Passage Thiaffait et accompagner le drapeau noir des Canuts vers l’Hôtel de Ville. Le Mur des Lyonnais nous faisait prendre le train de l’Histoire puis un wagon de choses filèrent : Le Palais Saint-Pierre, La Fontaine Bartholdi, L’Hôtel de Ville, l’Opéra, les statues d’Ipoustéguy et de César, l’église Polycarpe, l’Autel à Auguste lieu du martyr de Sainte Blandine, La folle église du Bon Pasteur et tout cela mené bon train nous permit une arrivée ponctuelle à notre Bouchon.

Repas frugal et typique à la Gargagnole.

Repus, d’aucun appréciait le retour sur les quais même si votre guide se faisait un malin plaisir à rajouter une centaine de marches… pour le plaisir de voir une crypte ou un Mur Végétal. Un arrêt courtois à l’Homme de la Roche et petite mise en train, 255 marches, certain couru (mais pas longtemps) car entr’ain (oh…) faux plat et La Basilique de Fourvière restait 522 marches d’un seul tenant.

Tous arriveront ravis et souriants pour dominer la ville, ses quartiers, sa banlieue,…. la brume du matin s’était dissipée et nous offrait un panorama grandiose.

Les visites s’enchainèrent au train de chacun bien que rythmées par des temps de passage, Fourvière, Le Parc de la Sarra et le Trompe-l’œil de 3000 m2, le Théatre Gallo-romain.

Randonneurs déçus, il n’y avait plus que descente et vrais plats mais au train où allaient les choses, pour faire oublier cette déconvenue, les yeux s’écarquillèrent encore avec les Automates, La Commanderie (St Georges), La Cathédrale Saint-Jean (Sa gargouille p70), l’Horloge Astronomique et le passage du fleuve par la Passerelle de l’Abbé Paul Couturier (copie famélique du Pont des Arts) pour entrevoir l’arrière-train d’André-Marie Ampère.

En train de rejoindre la Gare de Lyon-Perrache une superbe découverte nous attendait l’Abbatiale-Basilique d’Ainay pour terminer cette découverte de Lyon Place Carnot après 18Kms, 540m de dénivelé positif, 3660 marches dont 2210 en montée.

(Nous ne pouvons valider les marches de Perrache où certains prirent l’escalator ni celles de Bourg matin et soir…cadeau)

Le retour en train fut somnolant, et à l’heure…..

Félicitations à tous pour l’ambiance parfaite de cette journée.

Alain.

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